Voici une histoire vrai,je conserve cet article depuis 1992,je sais c'est pas d'hier,mais c'est pour que les gens se rendent compte de la cruauté des scientifiques.
VOICI L'EMOUVANTE HISTOIRE DU CHIEN TRICKS...Voici l'émouvante histoire du chien Tricks.
Tricks était parmi les nombreux milliers d'animaux qui sont soumis annuellement aux expériences les plus douloureuses.
Je n'oublierai jamais l'expression dans les yeux du chien "Tricks"quand,juste avant de mourir,il comprit qu'il est des hommes qui mettent un chien sur le dos pour trouver la juste place pour leur couteau.
Tricks était un animal amical,joueur,intélligent et beau,précédemment juste un petit camarade de jeu d'un petit garçon,qui avait été fou de lui et lui avait appris des tours pendant des mois avec beaucoup de patience.Je travaillais depuis trois moiscomme technicien dans un laboratoire,quand l'assistant du chirurgien- chef me donna l'avertissement suivant "retenez de ne raconter à personne quel travail nous faisons ici.Les antivivisectionnistes sont maintenant très émotionnels et ils peuvent nous procurer des ennuis."
Il me raconta que tous les chiens reçoivent une piqure et s'endorment doucement,qu'ils n'avaient à souffrir de quasiment aucune douleur et qu'ils ne souffriraient pas dans l'ensemble.Et je le crus,jusqu'a ce que je vis un certain jour de quelle manière Tricks-et avec lui des centaines d'autres chiens-mouraient.C'est encore tjs affreux de repenser à ceci,la souffrance stupide,sans secours,d'animaux martyrisés,à qui on dénie même le droit de hurler de douleur,en coupant leurs cordes vocales,pour que leurs cris n'atteignent pas le monde extérieur.Je vis conduire les plus beaux chiens au banc d'abattage,comment ils furent fermement liés sur la table d'opération dans une angoisse mortelle pour mourir mille morts.Je vis comment les chiens furent opérés sans anesthésie.Je vis comment les chiens furent recousus après les interventions chirurgicales les plus cruelles et furent jetés dans une cage pour rester des heures durant à se tordre de douleur jusqu'a ce que la mort les délivre,bienfaisante,de leur souffrance.Je vis comment les chiens entraient ds la chambre de torture,agitant leur queue et amicaux,pour quitter celli-ci,à demi fous de douleur et de colère.
UN SI BRAVE CHIEN
Tricks faisait toutes sortes de tours sur commande--il attrapait une balle,pouvait prier,s'asseyait directement dans un coin,il pouvait parler et courir des trajets entiers sur ses petites pattes arrière,avec sa petite tête fièrement redressée.Au matin déterminé il était plus joueur que jamais.Il frétilla et sauta dans mes bras de joie quand je vins près de la cage pour le préparer pour une opération suivant les instructions spéciales de ...
Dans le laboratoire il passa par le traitement de routine habituel.D'abord il fut pesé,ensuite il fut fermement lié à la table aux quatre pattes,de façon qu'il fût couché tout à fait à plat.Ceci est en soi déjà cruel et douloureux,mais le chien accepta ceci,amicalement,pensant qu'il allait apprendre un nouveau tour.Tricks faisait entière confiance à chacun.Tandis que je préparais le masque d'éther,on poussa rudement une aiguille dans la patte arrière de Tricks pour mesurer sa tension artérielle.Tricks poussa un cri terrible.
LE CHIRURGIEN LE FRAPPA ET CRIA: " FERMEZ SA GUEULE!"Il essaya sauvagement de se lever,mais il était attaché fermement.Ses yeux devinrent grands d'angoisse et il jappa pitoyablement.Le chururgien lui donna une tape avec le plat de la main et cria: " FERMEZ SA GUEULE".Le chirurgien fit apparaitre ensuite une aiguille qui était large d'environ quatre pouces et aussi grosse que l'aiguille d'une machine à coudre.Je compris que l'intention était de donner à Tricks une anesthésie rachidienne à la place d'un masque à l'éther.Par ces méthode,la novocaine est injectable ds le liquide céphalorachidien pour rendre l'animal insensible à la douleur.A ce moment Tricks eut les pattes avant doublement pliées et glissées entre ses pattes arrière ,partout son corps fut tordu.Le chirurgien fut occupé dix minutes pour trouver la place indiquée pour l'aiguille d'injection,mais cela ne lui réussit pas,de sorte qu'il cessa finalement ses tentatives et dit: "donnez-lui de l'éther".Je fixai le masque d'éther sur le visage de Tricks et l'attachai fermement derrière ses oreilles.Tricks comprit bien maintenant que ceci n'était plus un nouveau petit jeu.Il se débattit et se tordit,mais cela ne le servit en rien,execpté pour une dernière tape du chirurgien.Quand l'éther l'eut endormi,le chirurgien commença à briser la patte gauche de Tricks.Pendant 1/4 d'heure,le chirurgien mania un marteau énorme et tapa si fort sur la patte qu'il eût bien pu enfoncer un clou dans une planche.Ceci était une preuve de choc raconta-t-il,avec le but de montrer que de grandes quantités de liquide quittent le corps et que le liquide corporel se déplace d'ailleurs vers une place ds le corps qui est traumatisée.Durant toute l'expérience,Tricks se bougea jusqu'a ce que finalement,après que j'eus écarté le masque d'éther,il ouvrit les yeux,après 10 minutes,yeux qui étaient éteints et vitreux et exprimaient une douleur intense.Tricks se tordit encore une fois pour se libérer,mais le démenbrement de sa patte l'avait exténué.Enfin il resta tranquille d'exténuation extrême.Le chirurgien vint à la conclusion qu'il ne pouvait pratiquer aucune mesure correcte de pression sanguine de la manière normale,de sorte que seulement une autre méthode subsistait,à laquelle il pensa alors aussi,nommément une incision dans la patte encore intacte,pour mettre à nu l'artère fémorale.Tricks gémit doucement et faiblement,tout son corps de chien tremblait.Le docteur commença à tater dans la plaie ouverte pour tirer l'artère avec un fil.Quand il eut trouvé celle-ci,il y piqua une aiguille et contrôla la tension artérielle sur le tensiomètre.C'est alors que Tricks mourut.Le docteur avait dit: "nous allons mesurer sa tension artérielle pendant l'heure."Après quoi,il quitta le laboratoire,tandis que Tricks gisait encore sur la table avec une plaie profonde ouverte.
MASSACRE POUR LA SCIENCE
Tricks ouvrit encore une ou deux fois les yeux,mais n'essaya plus de se lever.Quand le docteur revint pour mesurer encore une fois sa tension artérielle,il était trop tard: Tricks était déjà mort.
Mais il y avait encore du travail à faire " au nom de la science " Le docteur coupa le corps en deux,enleva les quattre pattes et examina le membre qui avait été traumatisé.Finalement il donna mission d'emmener l'animal.Ce qui subsistait du chien qui s'appelait Tricks,je dus le porter vers le surgélateur,dans lequel ses restent furent déposes près des dépouilles d'encore presque cent autres chiens,dont le coffre était bourré,des chiens qui tout comme Tricks,furent détruits,martyrisés et abattus.
Article de"Rose Van Gils traduit par Edgard Van-deput"
Merci d'avoir lu cette histoire,moi après autant d'année je la connais tjs par coeur et je me dis que ça aurais pu être mon chien ou mon chat.Et franchement je pleure tjs autant en la lisant.
